| Dernières réponses | |  Un sourire malsain se dessina sur le visage de l'elfe noir à la remarque de la jeune fille. Visiblement, elle ne le prenait pas au sérieux. Mais Phynoz, se laissa faire. Saphire était une orpheline qui avait un carence flagrante en affection. Phynoz se revit en elle. Comme Saphire, sa mère était morte à la naissance. Son pre avait été assassiné alors que celui de la fille avait disparu mystérieusement.
"Tu es une drôle de fille, assez drôle pour taquiner une bête sauvage. Tu me plais bien, nous aurons peut-être l'occasion de nous revoir, mais vois-tu, j'ai un rendez-vous et s'il y a une valeur auquelle je tiens, c'est la ponctualité ! A la prochaine !"
Phynoz disparut dans les fourrés se dirigeant vers l'imposant bâtiment : L'Académie.
[Salle Principale ; Salle de Conférence]
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| | Saphire arretta la mélodie. Elle regardait Phynoz d'un regard dur et froid. Quand il prononca le noms de ses parents, elle eu un rictus qui devait etre un sourir. Elle s'approcha de lui, tout doucement. Elle lui dit dans le creu de l'oreille :
"-Oui, et arrette de matter s'il te plais.... Tu serai gentil..."
Elle se detourna en deposant un baiser sur la joue de l'heritier. Ses levres si froide et si rouge, rouge comme le sang... Elle s'avanca dans l'obscurité, et disparu, dans un melodie douce et pleine de trisstesse...
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| | Phynoz sauta d'une branche et se retrouva devant Saphire. Le garçon n'avait pas beaucoup changé. Mis à part, les vêtements, l'elfe avait le même visage qu'au combat final. Son Gÿk, un louveteau de petite taille était à même le sol et trotinait au côté de son maître. Il portait une veste sombre qui flottait à la façon d'une cape. Ses mains, dans les poches de son jean bleu, il scrutait la jeune fille d'un oeil soupçonneux.
"Tu es bien la fille de Reven et de Shadow ? Saphire, c'est ça ?3
L'Héritier des Ténèbres sourit en passant sa langue sur ses lèvres sèches. Elle était assez jolie, mais ce n'était pas vraiment le genre du garçon, et puis ... Elle était trop jeune, malgré les apparences, il avait déjà la quarantaine.
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Saphire arriva par la voix des aires. Elle atterit dans l'herbes fraiche du matin. Elle replia ses grande ailes blanches et s'avanca vers le monument. Son visage pale était grave, et afficahit la trisstesse et le manque... Soudain, sa voix s'éléva, dans une logue melodie, une voix magnifique et douce, pleine de trisstesse et d'amertume...
Un ange s'est suicidé
Dans le silence de la nuit
Je l'ai entendu crier
Et hurler son agonie...
Il était tombé en amour
D'une terrienne sans importance
Dotée de yeux de velours
Qu'il désirait avec insistance...
Il l'aimait tellement
Q'un jour il décida
De descendre chez les vivants
Mais ne pu que regretter ce choix...
De monstre on le traita
En bête ignoble, on le regarda
Son coeur déjà brisé
En mille morceaux fut dispersé...
La vérité lui éclata au visage
Elle humaine
Lui ange
Impossible mélange...
Il se retira dans un coin du ciel
Avec l'idée dur comme fer
Qu'ils se couperaient les ailes
Et descendrait sur terre...
Mais sur terre il n'est pas allé
Car d'amour il a brûlé
Et depuis dans le ciel
Brille une lumière éternelle
D'un ange envolé...
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| | Le monument aux morts est l'édifice qui a été construit par les membres de l'académie en l'hommage des adeptes décédés lors du Grand Conflit il y a 18 ans. cet édifice rassemble tous les noms a leur gloire: Reven, Lunj ....
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